Trop marrant, à lire absolument!

Etant abonnée à un site de randonnée, j'ai reçu ce mail aujourd'hui qui m'a fait tordre de rire, c'est pourquoi je vous invite a en prendre connaissance.

BONNE LECTURE et surtout on y pensera la prochaine fois!

"Bonjour Maryse,

Tout comme moi, je suis sûr que vous avez déjà rencontré de véritables WC sauvages lors de vos randonnées. En bord de route, derrière les bosquets et parfois même sur les sentiers : la pollution environnementale, visuelle et olfactive des déjections et feuilles de papier toilette laissées en pleine nature est catastrophique.

Il est vrai que certains endroits, comme en France, manquent cruellement de toilettes publiques. Mais cela n'excuse pas tout, car on ne rencontre pas ces WC sauvages dans certains pays qui ne sont pas mieux dotés. Et de toute manière, il ne s'agit pas que d'une histoire de toilettes publiques manquantes, car on ne va pas en mettre à chaque intersection de sentiers.

Mais alors comment faire ça « proprement » ?

Je vous propose aujourd’hui un petit rappel de quelques bonnes pratiques développées dans cet article.

Conseil n°1 : anticiper

La solution idéale consiste tout simplement à ne pas faire ses besoins en extérieur. Cela peut sembler bête, mais si vous partez en randonnée à la journée par exemple, essayez d’aller aux WC avant de partir ou de vous retenir jusqu’à votre retour.

Bien sûr, cela n’est pas toujours faisable. Parfois, « l’appel de la nature » est plus fort que tout Dans ces cas-là, d’autres solutions existent.

Conseil n°2 : enfouir ses déjections

Le problème des étrons et du papier toilette laissés à l’air libre, c’est qu’ils mettent du temps à se décomposer et ils polluent. Sans compter qu’il est très désagréable pour les autres randonneurs de tomber sur ce type de déchets…

Pour dissimuler vos déjections et faciliter leur dégradation, faites vos besoins dans un trou de 15 à 20 cm de profondeur que vous reboucherez par la suite. Sachez qu’il existe de petites truelles de randonnée, très légères et peu encombrantes destinées à ce type d’usage.

Attention, enterrez uniquement vos excréments. Si vous vous essuyez avec du papier toilette ou des lingettes, emportez-les avec vous dans un petit sac hermétique que vous jetterez dans la première poubelle que vous croiserez.

Ce dernier point est souvent source de blocage. Si c’est votre cas, je vous conseille de tester une seule fois, comme si c’était un défi, et vous verrez que la barrière mentale devrait être vite dépassée et remplacée par la satisfaction de ne pas avoir laissé de papier derrière vous.

Conseil n°3 : utiliser du « papier toilette naturel »

Pour vous essuyer, le mieux reste bien entendu d’utiliser des feuilles de végétaux que vous mettrez également dans le trou. Si cette option vous semble trop rustique, optez éventuellement pour du papier toilette biodégradable.

Attention, "biodégradable" ne signifie pas sans impact pour le milieu naturel, donc l'idéal reste vraiment d'emporter son papier toilette.

Évitez autant que possible les mouchoirs en papier ou les lingettes pour bébé qui se dégradent beaucoup moins bien.

Note : sachez qu’il est déconseillé de brûler son papier hygiénique à cause du risque d’incendie (il y a déjà eu plusieurs cas).

Maintenant il ne reste plus qu'à mettre en œuvre qui va commencer ???